Les députés ont adopté vendredi 24 juin 2016 à l’unanimité la loi autorisant la ratification de l’accord international Bénino-togolais de l’électricité. Par cet acte, la CEB perd son statut d’acheteur unique
de l’électricité pour la communauté mais conserve le monopole sur les importations et le transport de l’énergie électrique dans la Communauté ainsi que la gestion de son parc de production. Les travaux de la plénière ont été présidé par le Président de l’Assemblée Nationale, Dama DRAMANI.
Il n’est point besoin de rappeler le rôle stratégique de l’énergie électrique dans le développement socioéconomique, l’accélération de la croissance et la réduction de la pauvreté dans un pays.
Au regard de la place qu’occupe l’énergie électrique dans le développement de toute nation, le gouvernement a su très tôt engager des réflexions et prendre des initiatives innovantes pour relever les défis liés à la problématique de l’accès à l’énergie et doter le pays aussi bien des textes réglementaires que des structures adéquates pour une gestion saine et efficace du secteur.
Ainsi, une première modification était intervenue le 23 décembre 2003 et rentrée en vigueur le 27 juillet 2007 pour permettre aux deux Etats de répondre aux nouvelles exigences de développement du secteur électrique. Ce qui avait favorisé l’ouverture du segment de production aux producteurs indépendants avec à la clé l’apport des capitaux privés au développement du secteur.
Le vote de ce nouveau texte permet à la CEB d’adapter et d’harmoniser ses activités aux obligations souscrites par les deux Etats dans le cadre de l’UEMOA et de la CEDEAO. La ratification de cette loi hôte certes à la CEB son statut d’acheteur unique de l’énergie électrique mais elle conserve le monopole sur les importations et le transport de l’énergie électrique dans la Communauté ainsi que la gestion de son parc de production.
Cette décision d’une nouvelle modification de l’accord international portant code bénino-togolais de l’électricité est motivée par la volonté politique des deux Etats de permettre à la CEB de suivre les mutations et le développement du secteur de l’électricité dans la sous-région et dans le monde entier.
Après le vote, le Ministre des Mines et de l’Energie, Dèdèriwè ABLY-BIDAMON a salué le plébiscite des élus du peuple à ce projet de loi. « Je voudrais renouveler mes sincères remerciements aux membres de la commission des Relations Extérieures et de la Coopération et particulièrement à son Président pour le travail pointu en commission qui a favorisé une meilleure compréhension du texte de loi et faciliter son adoption à une large majorité » a-t-il souligné.
Le code Bénino-togolais de l’électricité conclu le 27 juillet 1968, qui avait pour objectif de mutualiser les ressources du Bénin et du Togo dans les domaines de la production, du transport de l’importation et de l’exportation de l’énergie électrique sur l’étendue des territoires des deux Etats, a souffert de quelques manquements dans sa mise en œuvre en dépit des efforts consentis.
Il n’est point besoin de rappeler le rôle stratégique de l’énergie électrique dans le développement socioéconomique, l’accélération de la croissance et la réduction de la pauvreté dans un pays.
Au regard de la place qu’occupe l’énergie électrique dans le développement de toute nation, le gouvernement a su très tôt engager des réflexions et prendre des initiatives innovantes pour relever les défis liés à la problématique de l’accès à l’énergie et doter le pays aussi bien des textes réglementaires que des structures adéquates pour une gestion saine et efficace du secteur.
Ainsi, une première modification était intervenue le 23 décembre 2003 et rentrée en vigueur le 27 juillet 2007 pour permettre aux deux Etats de répondre aux nouvelles exigences de développement du secteur électrique. Ce qui avait favorisé l’ouverture du segment de production aux producteurs indépendants avec à la clé l’apport des capitaux privés au développement du secteur.
Le vote de ce nouveau texte permet à la CEB d’adapter et d’harmoniser ses activités aux obligations souscrites par les deux Etats dans le cadre de l’UEMOA et de la CEDEAO. La ratification de cette loi hôte certes à la CEB son statut d’acheteur unique de l’énergie électrique mais elle conserve le monopole sur les importations et le transport de l’énergie électrique dans la Communauté ainsi que la gestion de son parc de production.
Cette décision d’une nouvelle modification de l’accord international portant code bénino-togolais de l’électricité est motivée par la volonté politique des deux Etats de permettre à la CEB de suivre les mutations et le développement du secteur de l’électricité dans la sous-région et dans le monde entier.
Après le vote, le Ministre des Mines et de l’Energie, Dèdèriwè ABLY-BIDAMON a salué le plébiscite des élus du peuple à ce projet de loi. « Je voudrais renouveler mes sincères remerciements aux membres de la commission des Relations Extérieures et de la Coopération et particulièrement à son Président pour le travail pointu en commission qui a favorisé une meilleure compréhension du texte de loi et faciliter son adoption à une large majorité » a-t-il souligné.
Le code Bénino-togolais de l’électricité conclu le 27 juillet 1968, qui avait pour objectif de mutualiser les ressources du Bénin et du Togo dans les domaines de la production, du transport de l’importation et de l’exportation de l’énergie électrique sur l’étendue des territoires des deux Etats, a souffert de quelques manquements dans sa mise en œuvre en dépit des efforts consentis.